Les nombreux cimetières militaires des zones de combat nous permettent de prendre en partie conscience de l’ampleur du désastre. 
Vainqueurs ou vaincus, identifiés u inconnus, catholiques, juif, musulmans ou athées, les victimes du carnage sont réunis par le même destin tragique.
Pourtant on peut facilement distinguer chacune des Nations en observant les tombes puisque, d’un pays à l’autre, le choix des représentations n’a pas été le même.